La chasse du Diarckase noir.

(comme convenu avec Lucie (Dhraan), je poste un seul message pour nous deux sur cette chasse.)

Vergil fit se poser en douceur le vaisseau sur une vaste étendue plate. Il posa le premier son pied dans le sol, entièrement composé d'herbe et de boue. Il fit une grimace en sentant son pied s'enfoncer légèrement puis il s'avança plus loin dans les plaines. Son frère le suivit sans rien dire, mais il ne semblait pas enchanté non plus de marcher sur un sol aussi boueux. Ils gravirent tous les deux une petite colline de façon à être en hauteur pour mieux voir le terrain qui les entouraie. Dhraan enfonça son épée dans le sol alors que Vergil gardait son sabre dans son fourreau, fermemant tenu dans sa main. Dhraan se posa sur le manche de son arme, demanière à être un peu assis, puis il demanda:

"Vergil... Tu as rêvé de quoi cette nuit, toi?"

Vergil fut surpris de la question, et ne trouva pas de réponse immédiatement. Il tenta quelque fois de dire son vrai rêve, mais savait que son frère ne le comprendrait pas. Il resta donc silencieux durant quelques minutes, tout en essayant de dire quelque chose mais sans savoir quoi.

"Ouais OK. J'ai compris. Tu veux pas me le dire, pas vrai? Si même à moi tu ne le dis pas... Racontes-tu au moins tes rêves à ta femme?"

"Oui, parfois. Et à propos de femmes, tu devrais t'en trouver une, franchement. J'éspère pour toi que tu en trouveras une. Je suis sérieux. Sinon, ta chambre sera toujours aussi crade."

"C'est comme ça que tu vois les femmes? Comme des personnes qui ne sont là que pour faire le ménage?"

Vergil resta bouche bée. Il avait pensé faire une plaisanterie avec sa remarque, pour détendre l'atmosphère, mais son frère avait semblé se refermer encore plus. Il secoua avec force la tête.

"Bien sûr que non! C'est une plaisanterie! Si je considérais vraiment toutes les femmes comme ça, la mienne ne serait pas avec moi."

"Elle n'est presque jamais avec toi, puisque tu es toujours avec moi et que je ne l'aie jamais vue. A quoi ressemble-t-elle?"

"Hé bien..."

Heureusement pour Vergil, un bruit de moteur, puis un cri et une explosion se firent entendre, coupant court la conversation qui le mettait de plus en plus mal à l'aise.

(pas fini)